Retour aux sources pour la plus vieille maison de bulles de Loire. Ne l’appelez plus Orchidées Maisons de vin, mais Ackerman Maison de Loire. “Tout a commencé avec ce nom : Jean-Baptiste Ackerman en 1811. Et on reste connu par ce nom. Ackerman, c’est à la fois les fondations et le toit de la Maison”, justifie Laurent Reinteau, le directeur général, qui se dit attaché à l’histoire et a insufflé ce retour aux sources. “J’ai aussi tenu à ce que le mot Loire apparaisse dans cette signature, car nous sommes des spécialistes des vins de Loire, de Nantes à Sancerre, via nos propres domaines mais aussi via nos 150 vignerons en contrats pluriannuels”, ajoute le DG,
Au-delà de ce nom pour bien identifier le groupe, et qui a donné lieu à un relookage des bouteilles de bulles, les autres maisons (Monmousseau, Donatien-Bahuaud) et les domaines (La Varière, les Hardières, La Perruche, Couamais et le Château de Sancerre) gardent leur identité.
Côté business, l’année 2023 est qualifiée de “correcte” par Laurent Reinteau, en précisant bien qu’il observe deux dynamiques bien différentes selon les produits : les bulles sont en croissance à deux chiffres en termes de chiffre d’affaires – elles représentent 2,5 millions de cols - alors que les vins tranquilles sont en retrait, tout particulièrement les entrées de gamme de grande distribution via les MDD. “Sur les bulles, on vise 3 millions de cols à moyen terme”, ambitionne le DG.
Au final, le chiffre d’affaires s’établit à 58 M€ contre 60 en 2022, “mais avec un résultat identique”, précise le DG. La grande distribution, qui représente la moitié du CA, a connu une bonne année, sauf avec une enseigne qui a pénalisé l’ensemble. L’export, 25 %, a été plus compliqué. A noter également, que 5 % du chiffre d’affaires est réalisé au caveau via les 60 000 visiteurs annuels des caves saumuroises.
P.T.
Au-delà de ce nom pour bien identifier le groupe, et qui a donné lieu à un relookage des bouteilles de bulles, les autres maisons (Monmousseau, Donatien-Bahuaud) et les domaines (La Varière, les Hardières, La Perruche, Couamais et le Château de Sancerre) gardent leur identité.
Côté business, l’année 2023 est qualifiée de “correcte” par Laurent Reinteau, en précisant bien qu’il observe deux dynamiques bien différentes selon les produits : les bulles sont en croissance à deux chiffres en termes de chiffre d’affaires – elles représentent 2,5 millions de cols - alors que les vins tranquilles sont en retrait, tout particulièrement les entrées de gamme de grande distribution via les MDD. “Sur les bulles, on vise 3 millions de cols à moyen terme”, ambitionne le DG.
Au final, le chiffre d’affaires s’établit à 58 M€ contre 60 en 2022, “mais avec un résultat identique”, précise le DG. La grande distribution, qui représente la moitié du CA, a connu une bonne année, sauf avec une enseigne qui a pénalisé l’ensemble. L’export, 25 %, a été plus compliqué. A noter également, que 5 % du chiffre d’affaires est réalisé au caveau via les 60 000 visiteurs annuels des caves saumuroises.
P.T.