Le cadre était flou depuis des années. Il vient d’être éclairci par les pouvoirs publics : l’accueil de vendangeurs touristes a désormais un cadre légal pour éviter qu’il soit apparenté à du travail dissimulé par les contrôles de l’inspection du travail. Il est donc désormais possible de recevoir un groupe de clients ou touristes pour les vendanges à condition de respecter quelques règles.
Premier élément clé : il s’agit bien d’une prestation oenotouristique payante, ce que le vigneron doit être ne mesure de prouver en cas de contrôles. Elle s’accompagne d’une découverte du vignoble, du chai... et les conditions de cette participation à la récolte sont définies précisément : temps limité, sur une surface réduite du vignoble… “La prestation n’est d’aucune utilité pour le fonctionnement de l’entreprise viticole et la réalisation des vendanges ne présente aucune finalité de rendement ni de productivité”, précise le texte du gouvernement. Evidemment, dans ce même esprit : il n’y a aucun lien de subordination entre les vendangeurs d’un jour et le vigneron.
P.T.
Premier élément clé : il s’agit bien d’une prestation oenotouristique payante, ce que le vigneron doit être ne mesure de prouver en cas de contrôles. Elle s’accompagne d’une découverte du vignoble, du chai... et les conditions de cette participation à la récolte sont définies précisément : temps limité, sur une surface réduite du vignoble… “La prestation n’est d’aucune utilité pour le fonctionnement de l’entreprise viticole et la réalisation des vendanges ne présente aucune finalité de rendement ni de productivité”, précise le texte du gouvernement. Evidemment, dans ce même esprit : il n’y a aucun lien de subordination entre les vendangeurs d’un jour et le vigneron.
P.T.