Valoriser, gagner en notoriété et/ou en image. Toutes les appellations de Loire sont confrontées à cet enjeu. Dans les bulles de Loire, les Maisons – suivies par la production – ont été à l’initiative d’un projet fédérateur de valorisation autour d’une marque commune : Prestige de Loire.
Cette signature, pilotée par Interloire, a été officiellement présentée à Vino Vision devant la presse et un groupe de cavistes. Il s’agit d’un macaron apposé sur des cuvées répondant à un cahier des charges plus strict que celui des AOC : cuvée uniquement en blanc, à base exclusivement de chenin, cabernet franc, chardonnay et pinot noir, un élevage de 24 mois minimum, un tirage pas avant le 1er mars après la récolte, 3 mois minimum de délai entre le dégorgement et la vente, un dosage inférieur à 12g/l avec une tolérance de 3 g/l, un étiquetage en brut nature, brut ou extra brut, un millésime obligatoire, et un engagement écologique (a minima une certification HVE dans les 5 ans). Les bouteilles doivent être commercialisées au prix minimum de 10 € TTC.
Dix-sept premières cuvées – essentiellement présentées par les négociants – ont été sélectionnées à l’aveugle par un jury. D’autres suivront. “On vise rapidement les 100 000 cols”, a précisé Bernard Jacob, vice-président d’Interloire lors de la présentation parisienne.
P.T.
Cette signature, pilotée par Interloire, a été officiellement présentée à Vino Vision devant la presse et un groupe de cavistes. Il s’agit d’un macaron apposé sur des cuvées répondant à un cahier des charges plus strict que celui des AOC : cuvée uniquement en blanc, à base exclusivement de chenin, cabernet franc, chardonnay et pinot noir, un élevage de 24 mois minimum, un tirage pas avant le 1er mars après la récolte, 3 mois minimum de délai entre le dégorgement et la vente, un dosage inférieur à 12g/l avec une tolérance de 3 g/l, un étiquetage en brut nature, brut ou extra brut, un millésime obligatoire, et un engagement écologique (a minima une certification HVE dans les 5 ans). Les bouteilles doivent être commercialisées au prix minimum de 10 € TTC.
Dix-sept premières cuvées – essentiellement présentées par les négociants – ont été sélectionnées à l’aveugle par un jury. D’autres suivront. “On vise rapidement les 100 000 cols”, a précisé Bernard Jacob, vice-président d’Interloire lors de la présentation parisienne.
P.T.