C’est un petit pan de l’histoire des vins d’Anjou qui vient de refaire surface. A la demande des organisateurs de la Paulée de l’Anjou, la tonnellerie Taransaud ont remis au goût du jour la Pipe angevine. Un contenant patrimonial de 480 litres, qui servait de référence aux transactions commerciales avant la seconde guerre mondiale. Les premiers modèles ont été présentés lors de la dernière Paulée fin juin à Saumur.
“On en a fait une interprétation un peu moins longue que le modèle historique en deux formats, l’un pour les chenins et l’autre pour les cabernets”, précise le directeur commercial Bertrand de Cuyper. Pour les rouges, les bois sont issus de la Vallée de la Loire (44, 49 et 45), pour les blancs, la recette reste confidentielle, tant dans l’origine des bois que de la chauffe. “En tout cas, on propose des produits qui n’aromatisent pas les vins, pas de goût vanillé ou toasté”, ajoute le directeur commercial de la société charentaise.
Pour l’heure, une dizaine d’exemplaires ont été commandés et seront livrés avant les vendanges. “Il faut compter environ 4 semaines de délai”, conclut Bertrand de Cuyper.
“On en a fait une interprétation un peu moins longue que le modèle historique en deux formats, l’un pour les chenins et l’autre pour les cabernets”, précise le directeur commercial Bertrand de Cuyper. Pour les rouges, les bois sont issus de la Vallée de la Loire (44, 49 et 45), pour les blancs, la recette reste confidentielle, tant dans l’origine des bois que de la chauffe. “En tout cas, on propose des produits qui n’aromatisent pas les vins, pas de goût vanillé ou toasté”, ajoute le directeur commercial de la société charentaise.
Pour l’heure, une dizaine d’exemplaires ont été commandés et seront livrés avant les vendanges. “Il faut compter environ 4 semaines de délai”, conclut Bertrand de Cuyper.