Régis Vincenot devant le troglo du Château de Parnay en travaux.
Le tour de tables financier est bouclé. Les travaux du projet oenotouristique du Château de Parnay vont pouvoir redémarrer. L’enveloppe globale de 46 M€ est désormais bien garnie avec la signature récente d’un emprunt bancaire de 10 M€ auprès des Caisses d’Epargne Bretagne Pays de la Loire et Loire Centre.
Le reste du financement (20 M€) provient de la participation de la Région via la Sem Solutions & co, le Département via Alter Cités, la Banque des Territoires, et d’un autre emprunt auprès de cette dernière pour 8 M€. Enfin, le groupe RGV (porteur du projet) abonde de 8 M€ en fonds propres.
Rappelons que le gigantesque projet porte sur la construction d’un centre unique en France autour d’une exploitation viticole : trois offres d’hébergement, trois offres de restauration, des parcours scénarisés en cave et dans les vignes, un spa et un parcours aquatique, des salles de séminaire.
“Notre objectif est d’ouvrir le site au 2ème trimestre 2028”, indique Régis Vincenot, le patron du groupe qui détient également le Château Princé en Anjou et un large parc d’immobilier commercial (magasins d’usines, de bricolage…) dans le Choletais. Le projet vise une fréquentation de 150 000 visiteurs annuels.
Le reste du financement (20 M€) provient de la participation de la Région via la Sem Solutions & co, le Département via Alter Cités, la Banque des Territoires, et d’un autre emprunt auprès de cette dernière pour 8 M€. Enfin, le groupe RGV (porteur du projet) abonde de 8 M€ en fonds propres.
Rappelons que le gigantesque projet porte sur la construction d’un centre unique en France autour d’une exploitation viticole : trois offres d’hébergement, trois offres de restauration, des parcours scénarisés en cave et dans les vignes, un spa et un parcours aquatique, des salles de séminaire.
“Notre objectif est d’ouvrir le site au 2ème trimestre 2028”, indique Régis Vincenot, le patron du groupe qui détient également le Château Princé en Anjou et un large parc d’immobilier commercial (magasins d’usines, de bricolage…) dans le Choletais. Le projet vise une fréquentation de 150 000 visiteurs annuels.