A l’heure où la consommation de vin en France ralentit, Interloire a confié au cabinet Wine Intelligence, une étude sur la segmentation des consommateurs de vins tranquilles, présentée lors du dernier Salon des vins de Loire. Avec pour objectif de déterminer quels seraient les plus intéressants pour les vins ligériens. “39 millions de consommateurs sont recensés en France sur 52 millions d’adultes”, indique Jean-Philippe Perroty, directeur du cabinet en France.
Sept catégories ont été définies : les classiques, les experts, les explorateurs, les occasionnels, les hebdomadaires sociaux, les économes, et les rares. A l’énoncé de cette classification, on voit bien où sont les réguliers des occasionnels, voire très occasionnels. En tout cas, selon Wine Intelligence, pour les vins de Loire, trois cibles sont à privilégier : les experts, les explorateurs et les hebdomadaires sociaux.
Les premiers sont aux deux-tiers des hommes, ils sont très impliqués dans le monde du vin. Ils sont prêts à payer un bon prix pour une bouteille à condition que le rapport qualité-prix soit au rendez-vous. Ils consomment en moyenne 126 cols par an et sont environ 3 millions à déjà acheter des vins de Loire et offrent une perspective de développement de l’ordre d’1,2 million supplémentaire. Ils sont plus consommateurs de blancs de Loire que de rouges de Loire.
Les deuxièmes sont beaucoup plus nombreux : 8 millions, dont plus de 4 sont déjà consommateurs de vins de Loire. Situés dans une tranche 35 à 50 ans, ils consomment beaucoup hors repas dans des entrées et milieux de gamme. “On peut les recruter dans les trois couleurs”, estime l’étude.
Enfin, les troisièmes – évalués à 6,5 millions de personnes dont plus de 3 sont déjà consommateurs de la Loire – sont des occasionnels à raison d’une à deux fois par semaine. Comme le nom l’indique, ce sont des buveurs de vins en groupe, avec une prédilection pour le blanc.
Une fois cette recommandation établie, il faut désormais que les ODG s’en saisissent pour ajuster leur choix de communication.
P.T.
Sept catégories ont été définies : les classiques, les experts, les explorateurs, les occasionnels, les hebdomadaires sociaux, les économes, et les rares. A l’énoncé de cette classification, on voit bien où sont les réguliers des occasionnels, voire très occasionnels. En tout cas, selon Wine Intelligence, pour les vins de Loire, trois cibles sont à privilégier : les experts, les explorateurs et les hebdomadaires sociaux.
Les premiers sont aux deux-tiers des hommes, ils sont très impliqués dans le monde du vin. Ils sont prêts à payer un bon prix pour une bouteille à condition que le rapport qualité-prix soit au rendez-vous. Ils consomment en moyenne 126 cols par an et sont environ 3 millions à déjà acheter des vins de Loire et offrent une perspective de développement de l’ordre d’1,2 million supplémentaire. Ils sont plus consommateurs de blancs de Loire que de rouges de Loire.
Les deuxièmes sont beaucoup plus nombreux : 8 millions, dont plus de 4 sont déjà consommateurs de vins de Loire. Situés dans une tranche 35 à 50 ans, ils consomment beaucoup hors repas dans des entrées et milieux de gamme. “On peut les recruter dans les trois couleurs”, estime l’étude.
Enfin, les troisièmes – évalués à 6,5 millions de personnes dont plus de 3 sont déjà consommateurs de la Loire – sont des occasionnels à raison d’une à deux fois par semaine. Comme le nom l’indique, ce sont des buveurs de vins en groupe, avec une prédilection pour le blanc.
Une fois cette recommandation établie, il faut désormais que les ODG s’en saisissent pour ajuster leur choix de communication.
P.T.