Plusieurs mécènes ont contribué au financement du chai, dont Groupama Val de Loire qui a donné 200 000 €.
Il n’est pas signé d’un architecte en vue comme le prévoyait le domaine national de Chambord, mais il est plus performant que le hangar qui abritait les vinifications du vignoble du château. Le nouveau chai de Chambord a été inauguré le 4 juin. Adossé
à une salle de dégustation d’époque Renaissance et bientôt à des gîtes, il abrite 14 cuves thermorégulées, où les vignerons Henry et Jean-Sébastien Marionnet continueront de superviser les vinifications. Ce sont eux qui ont permis au vignoble de Chambord, 14 ha en bio plantés à partir de 2015, d’avoir quatre hectares de romorantin issu d’une vigne pré-phylloxérique.
Ce romorantin est vendu 30 €/col en vin de France, sous réserve de l’obtention éventuelle de l’AOC Cour-Cheverny, « qui pourrait peut-être se transformer en AOC Chambord », sourit Jean d’Haussonville, le directeur général du domaine. Chambord produit aussi du Cheverny rouge, à 15 € environ/col. Après deux années de petite récolte, le vignoble devrait donner 90 000 cols cette année, selon Jean d’Haussonville, qui a l’objectif de tirer des vignes 1 M€ net par an.
à une salle de dégustation d’époque Renaissance et bientôt à des gîtes, il abrite 14 cuves thermorégulées, où les vignerons Henry et Jean-Sébastien Marionnet continueront de superviser les vinifications. Ce sont eux qui ont permis au vignoble de Chambord, 14 ha en bio plantés à partir de 2015, d’avoir quatre hectares de romorantin issu d’une vigne pré-phylloxérique.
Ce romorantin est vendu 30 €/col en vin de France, sous réserve de l’obtention éventuelle de l’AOC Cour-Cheverny, « qui pourrait peut-être se transformer en AOC Chambord », sourit Jean d’Haussonville, le directeur général du domaine. Chambord produit aussi du Cheverny rouge, à 15 € environ/col. Après deux années de petite récolte, le vignoble devrait donner 90 000 cols cette année, selon Jean d’Haussonville, qui a l’objectif de tirer des vignes 1 M€ net par an.