C’est pour l’heure une simple expérimentation menée en 2023 par Elioreso avec un groupe de six vignerons du Haut-Layon. Pour permettre à ces producteurs de s’échanger des équipes de vendangeurs sans avoir à refaire à chaque fois, toute la paperasse qui accompagne le début et la fin d’un contrat, une vingtaine de salariés a été embauchée par le groupement d’employeurs Elioreso.
“Les salariés sont recrutés par les domaines. Ce sont eux qui gèrent ensemble les plannings en fonction des besoins de chacun tout en respectant les jours de repos, les amplitudes horaires… ; Elioreso s’occupe de l’aspect administratif”, précise Mélanie Lihoreau, chargée de développement de l’emploi agricole chez Elioreso. Avantage également pour les vendangeurs qui peuvent profiter d’une période plus longue de vendanges avec un seul employeur, tout en restant dans un périmètre local.
Pour 2024, l’expérimentation est reconduite avec les mêmes vignerons. “Le groupe est clos”, prévient Mélanie Lihoreau. A l’issue de la prochaine campagne de vendanges, un bilan sera dressé entre les vignerons participants, la Fédération viticole et Elioreso pour voir quelles suites donner à cette opération de portage salarial.
P.T.
“Les salariés sont recrutés par les domaines. Ce sont eux qui gèrent ensemble les plannings en fonction des besoins de chacun tout en respectant les jours de repos, les amplitudes horaires… ; Elioreso s’occupe de l’aspect administratif”, précise Mélanie Lihoreau, chargée de développement de l’emploi agricole chez Elioreso. Avantage également pour les vendangeurs qui peuvent profiter d’une période plus longue de vendanges avec un seul employeur, tout en restant dans un périmètre local.
Pour 2024, l’expérimentation est reconduite avec les mêmes vignerons. “Le groupe est clos”, prévient Mélanie Lihoreau. A l’issue de la prochaine campagne de vendanges, un bilan sera dressé entre les vignerons participants, la Fédération viticole et Elioreso pour voir quelles suites donner à cette opération de portage salarial.
P.T.