Maxime Leray et David Raimbaud relancent Vinomusic.
L’accord, la note, l’harmonie… S’ils partagent du vocabulaire, le vin et la musique ont aussi en commun d’éveiller les sens, d’engendrer du plaisir, de la convivialité. L’idée de marier ces deux univers avait donné naissance à Vinomusic, une entreprise créée par quatre Nantais et un Angevin en 2016, qui proposait via un QR code sur la contre-étiquette, de déguster le vin en musique. L’aventure s’était arrêtée au bout de deux années.
Elle vient d’être relancée par deux jeunes entrepreneurs angevins, Maxime Leray qui gère We Forge le lieu de coworking et David Raimbaud, distributeur de musique chez Wiseband et compositeur électro. Tous deux amateurs de vins bien sûr, convaincus que le concept était porteur, ont repris la marque, et salarié une jeune titulaire d’une licence pro marketing des vins.
Concrètement, ils proposent à des producteurs de commercialiser une ou plusieurs cuvées en apposant une contre-étiquette pédagogique (température de service, garde, niveau de sucrosité, de tanins…) et une collerette sur laquelle figure le QR code pour découvrir une sélection de trois playlists aux ambiances variées. “Nous n’achetons pas le vin. On se rémunère sur la marge en vendant le vin plus cher dans un réseau de cavistes et magasins spécialisés, grâce à la plus-value de Vinomusic. Il n’y a pas de risque pour le vigneron”, précise Maxime Leray.
Tout juste naissante, la société recherche des vignerons d’Anjou-Saumur dans un premier temps, avant d’étendre au Val de Loire ensuite.
Contact : bonjour@vinomusic.fr
Elle vient d’être relancée par deux jeunes entrepreneurs angevins, Maxime Leray qui gère We Forge le lieu de coworking et David Raimbaud, distributeur de musique chez Wiseband et compositeur électro. Tous deux amateurs de vins bien sûr, convaincus que le concept était porteur, ont repris la marque, et salarié une jeune titulaire d’une licence pro marketing des vins.
Concrètement, ils proposent à des producteurs de commercialiser une ou plusieurs cuvées en apposant une contre-étiquette pédagogique (température de service, garde, niveau de sucrosité, de tanins…) et une collerette sur laquelle figure le QR code pour découvrir une sélection de trois playlists aux ambiances variées. “Nous n’achetons pas le vin. On se rémunère sur la marge en vendant le vin plus cher dans un réseau de cavistes et magasins spécialisés, grâce à la plus-value de Vinomusic. Il n’y a pas de risque pour le vigneron”, précise Maxime Leray.
Tout juste naissante, la société recherche des vignerons d’Anjou-Saumur dans un premier temps, avant d’étendre au Val de Loire ensuite.
Contact : bonjour@vinomusic.fr