Vignes de Loire n’est plus désormais l’unique signature de Sarmance. Créée en 2015 à Gétigné par Benjamin Bellet et le vigneron Jérôme Bretaudeau (photo), la marque de cosmétiques bio développe une nouvelle gamme de soins baptisée Vignes de Corse. Shampooing gel douche, gel lavant pour les mains, crème visage, eau micellaire et huile sèche ont été élaborés de la même manière que les produits Vignes de Loire. « Nous avons travaillé avec Jean-Charles Abbatucci, vigneron en biodynamie à Casalabriva au sud d’Ajaccio. Nous avons taillé la vigne à la floraison pour en extraire les principes actifs présents dans le cépage sciaccarello », explique Benjamin Bellet.
Vendus sur l’Ile de Beauté et sur Internet, ces cosmétiques ne sont pas les seules nouveautés lancées cette année par Sarmance. Au printemps 2016, quatre produits sont venus compléter la gamme ligérienne : une eau micellaire, une crème visage, une huile 3 en 1 ainsi que qu’une huile de massage, tous issus du cépage melon de Bourgogne du Domaine de Bellevue à Gétigné. L’entreprise a également recruté trois salariés sur des postes marketing, communication et commercialisation. « Nous sommes en pleine croissance »,confirme Benjamin Bellet. « Mais notre principale difficulté est de bien la gérer. Nous sommes obligés de prendre des risques sans être sûrs de réussir. »
Pour asseoir son développement, Sarmance a sollicité les aides Leader… depuis deux ans maintenant. « Le dossier vient d’être étudié par le comité de programmation du Pays du Vignoble Nantais. Mais les élus n’ont donné leur accord que pour 50 % des fonds, soit 17 000 €, car nous sommes une entreprise privée. » Leur demande va maintenant être examinée par le Comité régional qui tranchera positivement ou non. « Cette aide est un starter. Elle nous aidera à apporter des retombées directes et indirectes au territoire car nous travaillons localement. Mais on ne court pas après les subventions. Notre plus belle réussite est d’avoir trouvé notre clientèle, sensible à nos valeurs que sont le respect de l’environnement, le choix des circuits-courts et la traçabilité des produits. » Sarmance compte aujourd’hui 200 points de vente, dans le Grand Ouest et sur Paris. « Nous sommes aussi présents à la Cité du Vin à Bordeaux, ainsi que chez des cavistes et des vignerons. Nous sommes la seule marque de cosmétiques à avoir un tel circuit de distribution. C’est une façon différente de parler des vignes du Val de Loire et de valoriser notre vignoble. »
Adeline Le Gal
Vendus sur l’Ile de Beauté et sur Internet, ces cosmétiques ne sont pas les seules nouveautés lancées cette année par Sarmance. Au printemps 2016, quatre produits sont venus compléter la gamme ligérienne : une eau micellaire, une crème visage, une huile 3 en 1 ainsi que qu’une huile de massage, tous issus du cépage melon de Bourgogne du Domaine de Bellevue à Gétigné. L’entreprise a également recruté trois salariés sur des postes marketing, communication et commercialisation. « Nous sommes en pleine croissance »,confirme Benjamin Bellet. « Mais notre principale difficulté est de bien la gérer. Nous sommes obligés de prendre des risques sans être sûrs de réussir. »
Pour asseoir son développement, Sarmance a sollicité les aides Leader… depuis deux ans maintenant. « Le dossier vient d’être étudié par le comité de programmation du Pays du Vignoble Nantais. Mais les élus n’ont donné leur accord que pour 50 % des fonds, soit 17 000 €, car nous sommes une entreprise privée. » Leur demande va maintenant être examinée par le Comité régional qui tranchera positivement ou non. « Cette aide est un starter. Elle nous aidera à apporter des retombées directes et indirectes au territoire car nous travaillons localement. Mais on ne court pas après les subventions. Notre plus belle réussite est d’avoir trouvé notre clientèle, sensible à nos valeurs que sont le respect de l’environnement, le choix des circuits-courts et la traçabilité des produits. » Sarmance compte aujourd’hui 200 points de vente, dans le Grand Ouest et sur Paris. « Nous sommes aussi présents à la Cité du Vin à Bordeaux, ainsi que chez des cavistes et des vignerons. Nous sommes la seule marque de cosmétiques à avoir un tel circuit de distribution. C’est une façon différente de parler des vignes du Val de Loire et de valoriser notre vignoble. »
Adeline Le Gal