La Côte, Brézé, Courchamps, Brossay, Le Puy-Notre-Dame et Berrie. Voici les six zones définies par les vignerons saumurois pour travailler leur dossier de reconnaissance de DGC (dénominations géographiques complémentaires), appelées parfois “cru” par abus de langage, et simplicité. Dans la pratique, l’Inao pourra reconnaître une DGC qui s’ajoute au nom de l’appellation. Ce serait par exemple Saumur Blanc Brézé, qui, ensuite, pourrait devenir le cru Brézé. Il faudra pour cela que la notoriété du produit soit bien établie. Autant dire que les produits devront afficher une bonne série de récoltes. On en est loin.
Pour l’heure, les vignerons de chaque zone, intéressés par cette démarche de hiérarchisation – et de valorisation – de l’appellation, doivent se lancer dans la production de ces futurs DGC. Rappelons que l’Inao ne crée pas d’appellation, mais reconnaît l’existant, en s’appuyant sur une réalité de production en termes de volume, en termes historiques, en termes d’originalité (climatiques, géologiques…). Sans négliger évidemment l’aspect humain. C’est avant tout un collectif qui porte un projet.
Pour l’heure, les vignerons de chaque zone, intéressés par cette démarche de hiérarchisation – et de valorisation – de l’appellation, doivent se lancer dans la production de ces futurs DGC. Rappelons que l’Inao ne crée pas d’appellation, mais reconnaît l’existant, en s’appuyant sur une réalité de production en termes de volume, en termes historiques, en termes d’originalité (climatiques, géologiques…). Sans négliger évidemment l’aspect humain. C’est avant tout un collectif qui porte un projet.